Résumé :
Les personnes ayant connaissance de sévices ou agressions sur des mineurs, hésitent à informer les autorités.
La peur de « briser » une famille lorsqu’il s’agit de violences intra-familiales, de dénoncer une personne innocente, ou la crainte d’être elles-mêmes poursuivies, parce que les violences signalées ne seraient pas réelles, ou parce que la personne dénoncée ne serait pas l’agresseur, freine les signalements.
Rappel sur ce que prévoit la loi.
Article rédigé par Maître Vinciane Jacquet, Avocate, pour Village de la Justice
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